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Monsieur et sa Dame

18 juillet 2022

week-end

Après de longues heures dans une petite voiture nous voici enfin arrivés à destination, une belle et grande maison où nous avons la certitude de ne pas être dérangés. Je pose sur la table de la cuisine le contrat et son collier. Mais elle ne démarre pas aussi vite que je l’espérais. Je la sens tendu. Notre vie vanille nous a envahit dernièrement et il est difficile de se laisser aller.

Nous installons nos affaires dans la chambre et je profite de la situation pour l’aider à se détendre en lui massant la tête et les épaules. Alors que mes pensées étaient « pures » voilà que la situation se relâche et – je ne sais plus comment nous en sommes arrivés là – nous avons baisés, je l’ai baisée comme un sauvage.

Le lendemain réveil tranquille. Comme nous ne sommes que tout les deux nous prenons le temps de nous laisser vivre. Cléa, dans mon souvenir, a signé le contrat la veille mais je n’ai pas su user de la situation. Là après une bonne nuit de sommeil et loin de nos soucis quotidiens je me dis qu’il est temps de prendre les choses en main. Je réfléchis à comment lui dire que si elle a signé un contrat c’est pour le respecter, je la vois en robe, son collier autour du cou. Je suis sûr qu’elle remarque mon regard fier d’elle, mon bonheur de la savoir prête à être ma soumise.

Nous déjeunons sur la terrasse. Même si la maison se trouve dans ce que des parisiens pourraient appeler la campagne, il y a quand même des voisins mais Cléa garde son collier alors qu’il n’y a pas si longtemps elle n’aurait rien voulu savoir et pour pouvoir profiter de ce beau soleil de printemps j’aurai du accepter qu’elle le retire.

L’après-midi se déroule tranquillement jusqu’à ce que je lui demande de se mettre nue et lui rappelle qu’elle a 3 gages à son actif. J’ai préparé sur mon téléphone portable deux roues du hasard, une pour les parties du corps et une pour l’objet que je vais utiliser pour lui donner les 5 coups qu’elle mérite.

Le tirage indique la main pour les seins, le martinet pour l’intérieur des cuisses et à nouveau le martinet pour le sexe. Comme elle refuse le martinet une deuxième fois je l’autorise à faire à nouveau tourner la roue. Et bien ce ne sera pas le martinet tant redouté mais la ceinture encore plus redoutée.

J’aime lui claquer les seins, j’aime le bruit de ma main qui rencontre sa peau, la sensation que cela procure sur la paume, sur les doigts. Les 5 coups sont (trop vite) expédiés, alors que je m’apprête à saisir le martinet la voilà qui me dit qu’il en manque encore 5. Je lui fais remarquer que nous avions convenu d’un chiffre de 5 puis sans discuter plus, j’en ajoute 5 de plus pour son plaisir et le mien.
Les cuisses reçoivent également leur 5 coups de martinet plus 5 autres et le sexe ses 10 coups de ceinture. Je sais que cela doit lui faire mal, sentir le cuir de la ceinture frapper à cet endroit si sensible ne doit pas être des plus agréables mais elle se tend vers moi, se cambre pour s’offrir en toute impudeur.

A peine cette mise en bouche finie je lui propose d’aller se promener. Je suppose que vu comment je l’ai chauffée elle s’attend à autre chose mais j’ai bien entendu une idée derrière la tête. Je sais que se promener en robe la dérange je l’autorise donc à se mettre en pantalon. Je lui donne un bracelet et lui indique qu’en extérieur, comme elle ne peut pas porter son collier, il sera le signe discret de sa soumission. Une fois qu’elle est devant moi je lui descends son jean et sa culotte, la fait assoir sur un fauteuil et lui met des boules de geishas.
La balade va durer plus d’une heure, à parler de tout, de rien, à profiter du soleil, du ciel bleu et du calme du lieu. Tout le temps de cette promenade je me demande ce que cela lui fait, quelles sensations cela procure mais je n’ose pas lui demander.

De retour à la maison je lui retire les boules de geishas et la fais mettre nue, assise sur un fauteuil, yeux bandés et bracelets aux poignets. Elle a pour ordre de se caresser sans jouir pendant que je prépare la suite. Je m’active, met en place ce qu’il faut, m’assure qu’elle se caresse toujours. Après quelques minutes je viens la chercher. Doucement je l’amène sur le lieu où elle sera à ma merci.

Je lui attache les mains au-dessus de la tête et la caresse, la doigte. Je profite pleinement de son corps offert pour m’abreuver de sa peau, de ses seins, de son odeur. Je la plug, claque ses seins sans douceur, prends de nombreuses photos. D’ailleurs je regrette de ne pas avoir penser à faire en sorte qu’elle entende le déclenchement de l’appareil. Cet oubli sera réparé lors de notre prochaine séance 😊

Je suis toujours surpris par la manière dont elle accepte les claques sur les seins. Qu’elles soient « légères », de simples claques qui ont juste pour effet de les faire bouger aux mandales bien lourdes qui lui écrasent la poitrine elle gémit, tend sa poitrine dans l’attente du coup suivant et j’adore la voir comme ça.

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Des pinces sont venues se poser sur ses seins, sur son sexe. Puis des poids et quel plaisir quand après avoir mis des « petits » poids sur les pinces de ses tétons je lui demande si elle en veut plus et qu’elle me répond oui.

J’ai également fait danser sur son corps la roue dentée. Elle l’avait déjà écrit dans un mail précédent elle adore cet objet et les sensations qu’elle lui procure. Et comme moi j’adore la voir se tordre de douleur / plaisir et l’entendre gémir je m’en donne à cœur joie. La roue à parcourue ses seins, son ventre, ses cuisses, son sexe. Et à nouveau elle m’a étonné, balançant son bassin en avant jusqu’à mettre la roue au contact de son clitoris. Ma soumise n’est pas seulement soumise, elle est également masochiste ce qui, avec mon coté sadique, s’accorde parfaitement.

Bien sûr je l’ai détachée mais avant cela je lui ai retiré les pinces de ses seins sans douceur, sans la prévenir. Un déferlement de ce que je pense être de plaisir lui a fait perdre pied. La sentir toute tremblante contre moi, la respiration courte … Quel souvenir ! Quel sensation !

Une fois qu’elle a repris ses esprits je la fais agenouiller et lui donne ma queue à sucer. Elle la prend délicatement entre ses lèvres et entame sa danse de la langue qui a le don de me rendre fou. Elle suce merveilleusement bien, tout en douceur et en délicatesse et si je me laisse aller s’en sera terminé de notre séance je le sais, alors je l’arrête et la cravache, le dos, les seins. Elle est tellement dans le plaisir qu’elle gémit à chaque coup.

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 Un énooooorme merci à Cléa qui a accepté pour la première fois qu'une photo d'elle soit pubiée.

 

Pour terminer cette séance je la fais mettre dans le fauteuil, lui donne un gode et lui ordonne de se baiser jusqu’à jouir. Je peux dire qu’elle y a mis du cœur, se défonçant sans vergogne devant l’objectif de mon téléphone, se lâchant dans ses mots, dans son attitude. Finalement elle jouit longuement dans un râle qui aurait presque pu me rendre jaloux.

Plus tard dans la même journée nous avons baisé. Je l’ai emmené dans le subspace, cet espace mystérieux pour moi mais où elle se sent si bien. Elle m’a avoué dans un râle qu’elle veut bien servir de vides-couilles, en position de chienne juste bonne à se faire saillir. Ces mots ne sont pas tombés dans un puit sans fond.

 

 

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18 mai 2022

le collier

Il y a longtemps, bien avant que nous entrions dans le monde du BDSM j’avais offert à mon amoureuse un collier acheté en animalerie. Un vrai collier de chienne, un gros collier de chienne. Je me souviens encore du lieu, cette petite maison du bord de mer, rasée depuis. La cheminée, le canapé sur lequel elle était allongée, l’odeur de cuir et la lueur de plaisir trouble qu’il y avait eu dans son regard quand je lui avais passé autour du cou.

Depuis nous avons découvert le BDSM et le collier étant pour moi la marque affichée de son état de soumise elle le porte dès que nous faisons une séance. Il s’avère que ce collier est trop grand, trop lourd. Du coup il n’est pas adapté pour une longue période et n’est pas confortable pour ma soumise. Alors je lui ai offert ça.

 

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Léger, simple, agréable à porter (c’est elle qui le dit), il symbolise tout à fait ce qu’elle est quand elle le porte, MA Soumise. Et j’aime la voir avec, il lui va à ravir.

 

 

15 décembre 2021

2 heures

Pour une fois je laisse la parole en premier à Cléa. Je la remercie pour ce magnifique texte et pour la confiance sans cesse renouveller qu'elle me fait.

Monsieur.

Elle : La Fessée

Cette improbable geste qui me procure tant de jouissance tant de plaisir. C’est si bon quand nous sommes dans cet acte vous me claquant mes fesses moi les tendant encore et encore. La 1ère fois ce fut si intense si bon si déstabilisant que je me demandais si une nouvelle séance de la sorte me procurerait les mêmes sensations si je n’allais pas arrêter plus tôt vu comment mes fesses m’avaient, pendant plusieurs jours, rappelé notre séance si particulière. Et bien ce fut encore plus intense plus jouissif, vous avez réussi à me garder dans un état de demi-conscience toujours à la limite de partir, vous avez su vous arrêter quand je n’en pouvais plus quand j’allais lâcher et me laisser embarquer pour reprendre encore plus fort, plus méchamment, quel moment inoubliable, si délicieux. Quand vous êtes passé à la ceinture, la douleur a laissé place à une jouissance jusque-là inconnue pour moi, mon corps n’était plus que brûlure là où la ceinture frappait, et ne demandait qu’à recevoir ces coups de ceinture sans discontinuer tandis que mes larmes coulaient, je ne contrôlais plus rien, mes limites que je m’étais données ont volé en éclat, j’en voulais toujours plus. Et puis vous avez arrêté pour me demander de me mettre à genoux, j’ai réussi à me relever je ne sais comment et vous êtes passé à mes seins, vous les avez martyrisés, j’étais tellement partie que vos claques, vos pincements sur mes pointes de seins étaient si agréables, je ne ressentais quasi plus la douleur, oui vous auriez pu aller beaucoup plus loin.

La fin vous la connaissez et n’est pas le but de ce texte. Je voulais juste vous dire que oui en effet comme vous me l’avez dit lors de cette séance ‘Nous nous sommes trouvés sur ce terrain’, merci pour cette séance d’avoir su la cadencer pour que je ne parte pas trop vite ou que je dise mon mot d’arrêt, d’avoir su m’emmener vers ce nouveau lieu qui j’en suis sure sera renouvelée.

 

Votre dévouée Cléa

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Lui : Deux heures … Deux heures de totale liberté. Bien sûr il faudrait s’acquitter des tâches ménagères mais non, il y a mieux à faire. Je la prends par la main et la conduit à notre chambre. Le jean ? Envolé. Ses fesses sont là à portée de main et je commence. Doucement, légèrement. J’adore cette sensation de la main qui chauffe. J’aime la voir se tendre, j’aime j’aime j’aime … La main se fait plus lourde, plus large. Le rouge arrive, jolie couleur pour un adorable derrière. Les gémissements s’intensifient, se meurent dans sa gorge tout en gagnant en profondeur. Plusieurs fois je la sens qui s’échappe dans ce monde étrange ou tout se mélange, douleur plaisir. Alors je m’arrête, griffe légèrement son cul, le caresse et quand je la sens qui revient je recommence. Et puis … Et puis je décide de la faire partir alors je remplace ma main par la ceinture. Je ne sais pas si elle entend le cuir qui glisse contre mon pantalon, si elle perçoit le cuir qui claque quand j’assure la prise dans ma main. Elle répond favorablement au premier coup alors je continue, attentif à ne pas la perdre totalement. Le bruit … Le bruit du cuir qui rencontre la peau, la mince trace laissée, le soubresaut qu’elle fait à chaque contact … C’est adorable. C’est bon ! Difficile de décrire le plaisir que je prends à la fessée, fouettée. Elle se perd, ne répond presque plus à mes coups. Et mon sexe veut sa part. Je la fais mettre à genou ce qui dans l’état d’abandon total à son plaisir est difficile mais courageusement elle s’exécute. J’attrape ses seins, les presses, les pinces. Mon sexe se retrouve dans sa main et quand elle me demande ce qu’elle doit en faire je lui réponds ce qu’elle veut. Elle caresse son sein avec mon gland, me branle contre son téton pendant que d’une main je tire sur l’autre. Ma douceur est partie, je tire au gré de mon plaisir qu’elle fait monter. Elle gémit, se tord mais me branle de plus en plus furieusement et finit par me faire jouir contre sa poitrine.

Nous nous écroulons et moi … Moi je suis heureux d’avoir trouvé ma Soumise, ma Chienne.

8 mai 2021

dernier défi

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Lui : Jour de départ. J’ai mal dormi. Un projet est dans ma tête. Quelque chose qu’elle va avoir du mal à faire. Toujours les mêmes questions. Comment je lui présente la chose ? quel sera sa réaction ? Et si elle refuse ? Elle a déjà tellement fait pendant ces quelques jours, est ce que je ne vais pas trop vite ? Trop loin ?
Voici plus de deux heures que nous sommes sur la route du retour. L’ambiance est étrange. Les quelques jours que nous venons de passer ensemble sont comme un rêve que l’on voudrait éternel. Mais notre vie « normale » est là et nous devons nous y soumettre. Le soleil brille mais les températures sont froides. Arrêt dans une station-service pour se dégourdir les jambes et prendre le petit déjeuner. Alors que nous sommes devant l’entrée à discuter je glisse dans la poche de son manteau un objet. Elle me regarde faire et
« qu’est ce que c’est ? »
« Ton ultime défi. Tu vas aller aux toilettes et tu t’enfiles ça. »
Son regard est perplexe, affolé, dur. Tout un nuage d’émotion passe dans son regard. D’un pas incertain elle entre dans le magasin.
Je fais les 100 pas devant l’entrée, profitant du soleil bien présent qui ne réchauffe pourtant pas l’air. Je l’imagine ouvrant sa poche, en sortant le petit paquet et découvrant les boules de geishas. Je la vois assise sur les toilettes les frottant contre son sexe pour l’ouvrir et les glissant à l’intérieur. En tout cas j’espère que c’est ce qu’elle en train de faire.
Au bout de longues minutes elle revient enfin. A sa démarche, à son regard je sais qu’elle l’a fait. Elle est raide, avance précautionneusement. Son regard traduit l’effort qu’elle a fait pour me plaire. Ma Soumise une fois encore me fait un extraordinaire cadeau en se dépassant pour moi. A moins que ce ne soit la salope qu’elle est en train de se découvrir qui ait eu envie de cette nouvelle expérience. Peu importe, je suis fier de ma Cléa ! 

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Elle : Voilà nous repartons pleins de merveilleux souvenirs, heureuse d'avoir emprunté de nouveaux chemins avec mon Maître.

Je m'endors pendant cette première partie du voyage, j'avoue être un peu KO après ces quelques jours intenses en émotions. Je me réveille et cela tombe bien car Monsieur a décidé de faire une pause petit déjeuner.
Nous nous arrêtons sur une aire d'autoroute et alors que je m'apprête à aller aux toilettes, je le vois sortir un kleenex de son manteau et me le mettre très rapidement dans ma poche de manteau tout en me chuchotant : 'Voici ton dernier défi"..., je suis décontenancée et inquiète quel est ce défi ?. J'entre dans la station service et me dirige vers les toilettes, pour une fois il n'y a pas trop de monde, je choisis les dernières toilettes, soucieuse du petit paquet qui m'attend au chaud au fond de ma poche. Je m'enferme puis je déplie le fameux kleenex, je découvre alors deux boules de geisha reliées entre elles par un cordon. Je suis remontée contre lui, m'imposer ça et dans les toilettes publiques qui plus est, bof bof. Je respire un grand coup, me reprend et puis je pense à Lui, je l'imagine dehors à faire les 100 pas et je veux qu'il soit fier de moi. Alors je me décide à relever ce défi, franchement mon sexe n'est pas préparé et je dois un peu me masturber et me doigter pour le détendre. C'est bon, j'enfile les boules assez profondément ma foi, c'est perturbant et plutôt agréable de les sentir en moi.
Alors que je m'apprête à sortir, je vois la porte des toilettes s'ouvrir et je me rends compte avec effroi que je n'avais pas verrouillée la porte, trop perturbée que j'étais, c'était moins une !
Je vais chercher nos cafés et ressort de la station, je le vois au loin marcher, il a l'air pensif.Dès qu'il m'aperçoit, il se presse de me rejoindre. Je lui dis que je l'ai fait, dans ses yeux se lit de la fierté et des soupirs à n'en plus finir. Je les ai gardées plus de 2 heures et j'ai aimé les sentir dans mon sexe, une sensation vraiment plaisante. J'aurais aimé qu'IL les retire lui-même, ce sera une prochaine fois.
Défi réussi, je ne me reconnais plus moi cette femme timide qui il y a encore quelques mois aurait rejeté avec véhémence cette proposition que de chemin parcouru !


1 mai 2021

dernier jour

Lui : pour ce dernier jour elle me fait le plaisir d’être en jupe. Je découvre un haut en satin et dentelle rouge vif. Sans hésiter je l’attache à la porte, de dos, mains au-dessus de la tête, fait tomber sa jupe et lui mets la barre d’écartement entre les chevilles. Je joue avec son corps totalement disponible. Mes mains, ma bouche, mes doigts, mes ongles. Tout son corps y passe. Légèrement ou durement je la caresse, claque, gifle, griffe. Je glisse le petit vibro dans son string et le met contre son clitoris. Elle se tord, gémit, mouille encore et encore.

J’adore la voir ainsi soumise au plaisir sans pouvoir se défendre. J’ajoute au vibro la roue crantée qui vient se promener sur son corps de salope en train de prendre son pied. J’introduis même le manche de la roue dans sa chatte dégoulinante, la branle un peu avec puis lui donne à sucer. « Décidément tu es une vraie salope, tu suce tout ce qui se présente à ta bouche ». Tout en continuant à sucer elle acquiesce. Je l’aime quand elle est salope comme ça, je l’aime quand elle est chienne, je l’aime tout court. La cravache fait son apparition et entame sa danse. Les seins, le ventre, les cuisses, le sexe. Tout y passe. Pratique cette barre qui me permet de taper son sexe, de viser. Et sublime cette chienne qui projette son bassin pour appeler le coup, pour sentir le cuir venir frapper son intimité. Après quelques minutes de cet adorable jeu elle me dit que je devrai cesser et aller prendre un café. Je la prends au mot mais d’abord je lui introduis l’œuf vibrant.

Je vais dans la cuisine et alors que le café coule, que la porte est fermée je mets en route cet objet du diable. Aussitôt elle crie, je crois même qu’elle me donne un nom que je n’oserai pas répéter ici. Je la rejoins et m’installe face à elle, café à la main et joue avec le bouton de changement de rythme. Elle se tord, s’affole, s’écroule, se redresse. De temps en temps j’arrête les vibrations pour lui laisser le temps de respirer, de reprendre ses esprits. Et, malicieusement, je pose le doigt sur la télécommande et attends de voir dans son regard une lueur de panique. Je laisse passer encore quelques secondes et ma tendre Cléa reprend sa danse du plaisir, montant descendant sur ses jambes, balançant son ventre en avant, semblant se tordre pour échapper à l’œuf qui l’habite. Une fois mon café terminé je reprends la cravache et alors que l’œuf continue de la consumer de l’intérieur le cuir vient la frapper. Dans ce petit espace les coups résonnent et c’est un régal pour mes oreilles. Le claquement sec est une musique enivrante et les cris de ma salope les chœurs enchanteurs. Comme elle donne des signes de faiblesses je lui demande si elle veut que je retire l’œuf. A peine a-t-elle dit oui que je tire un coup sec sur le cordon. Est-ce l’impression de vide qu’il laisse, est-ce son sexe resserrer autour de cette source de plaisir ? Je ne sais pas mais cette action déclenche chez Cléa un intense gémissement. L’œuf est couvert de sa mouille, de son plaisir déchainé.


Je lui retire la barre d’écartement et, l’un après l’autre lui détache les poignets qu’aussitôt je lie entre eux par une chaine qui passe dans son dos. Je l’entraine sur le lit et lui dit de s’allonger. Avec les bras ainsi bloqués elle se laisse tomber et se retrouve sur le ventre. Je profite de sa position pour lui enfoncer le gode dans la chatte et la baise violement jusqu’à ce qu’elle crie grace.

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24 avril 2021

Bientôt la fin de notre liberté

Après ces quelques jours, je me sens droguée, envie qu'il me prenne quand il le souhaite, où qu'il le souhaite et selon ses directives. Les limites de mes frontières s’agrandissent, j'ose l'embrasser quand il y a du monde autour de nous, j'accepte qu'il me prenne par les hanches en me serrant, ou qu'il me pince les seins juste en passant ou encore qu'il me bloque contre le plan de travail de la cuisine pour me donner quelques fessées. Je suis à lui, IL le sait et il a bien raison d'en profiter !

Notre dernier déjeuner dehors, je suis en jupe, nous en sommes au dessert et je tourne alors ma chaise de jardin face à lui, jambes écartées. Il faut savoir qu'un chemin assez passant longe ce jardin et que la terrasse surplombe le tout. Bref pas très discret tout ça en pudique que je suis. Mais là j’ai envie qu'il mette sa main sur mon string et qu'il me caresse ce qu'il fait pour sa plus grande joie. IL me traite de salope qui ne pense qu'à ça et oui je dois bien me l'avouer c'est le cas. Il se met à me doigter, je suis trempée, j'ai envie qu'IL me prenne là tout de suite. Bon heureusement qu'IL ne l'a pas fait car 2 minutes après, un couple passait...nous sommes rentrés pour ranger la vaisselle, IL est arrivé derrière moi et après m'avoir donné quelques fessées, m'intime de m'agenouiller et le sucer. Je m'applique, je prends sa queue très profondément dans ma bouche, IL en redemande et m'indique le rythme à suivre., IL m'arrête l'orgasme montant en lui et m'a alors relevée puis entraînée dans la chambre, m'a demandé de me mettre dans ma position de soumise (à 4 pattes, front contre le matelas et cambrée), a relevé ma jupe, descendu mon string à mi-cuisses et s'est introduit sans plus tarder dans mon sexe. IL m'a tenu par les hanches, fesser de temps à autre, c'était si jouissif de se faire prendre ainsi (j'adore), puis après des incessants et délicieusement bon va et vient il a joui et s'est écroulé à mes côtés. Je lui ai dit « Je t'ai trouvé » ce que je voulais dire c'est je n'ai plus aucun doute c'est le Maître qu'il me faut pour évoluer en tant que soumise, salope et chienne.

Nous vous aimons très cher Monsieur.

17 avril 2021

Strip tease

Ce qui suit va peut être vous sembler rien du tout mais connaissant ma Cléa c'est un magnifique cadeau qu'elle m'a fait.

 Aujourd’hui elle porte son body en dentelle, une jupe et une chemise. Elle est belle, désirable. Je ne sais plus comment nous en sommes arrivés là mais je lui demande de se dévêtir devant moi. Je connais toutes ses réticences à ce genre d’exercice. Je connais sa difficulté à se déshabiller même devant moi. Elle se met de dos et lentement fait tomber la chemise. Le spectacle est plaisant, excitant. Puis vient la jupe qui se retrouve au sol. Ce body avec son dos découvert, les fesses mises en valeur, est une vraie merveille puis elle me fait face. J’ai l’impression qu’elle est au bord des larmes tellement l’effort a été intense.

Je la prends dans mes bras, la cajole, la remercie pour ce qu’elle vient de faire. Je lui dis qu’elle est belle, qu’elle est désirable. Quand elle part dans le couloir je la regarde encore, admirant une fois de plus son cul et son dos.
Merci à ma Cléa pour ce spectacle merveilleux qu'elle m’a offert.

Merci à toi ma Soumise de tout ces efforts que tu fais pour mon plus grand bonheur.

10 avril 2021

chienne en devenir

Lui : Je voulais la faire devenir chienne mais le moment m’échappait. Comment lui dire ce que je veux sans qu’elle se braque ? Comment avoir son assentiment ? Car nous débutons dans la relation D/S et je reste l’homme que je suis, plein de doutes, d’incertitudes. Elle va prendre une douche. J’en profite pour préparer sa tenue. Elle sort de la douche entourée de sa serviette et me demande ses vêtements posés sur le canapé. Je lui indique lui avoir préparé une tenue dans une chambre et qu’elle doit m’envoyer un message quand elle sera prête.-

 

 

La tenue de ma chienne

 

 Quelques minutes plus tard je reçois le message « prête ». J’ouvre la porte et la découvre à quatre pattes, pinces en place et plug dans le cul. Je lui bande les yeux et la promène en laisse dans la maison. Pas bonne idée le bandeau, je profite à peine du plaisir de la balader en chienne tellement je dois faire attention à ce qu’elle ne rencontre aucun obstacle. Je la fais mettre sur un matelas, lui creuse les reins en appuyant dessus, l’oblige à poser la tête sur le matelas. Je joue un peu avec le plug, le faisant sortir presque complétement avant de lui remettre. La vue est une fois de plus magnifique. Son cul offert à mon regard, son cul rougit de toutes les fessées reçues, transpercé par ce plug. Bon ce n’est pas le gros plug mais c’est déjà pas mal. Une, deux photos pour mes souvenirs. A nouveau je la promène, yeux toujours bandés. Après quelques pas je lui demande de retirer le plug. Je sens une hésitation mais elle le fait, le geste presque sûr. Je lui fais la remarquer que je suis déçu qu’elle n’ait pas mit le plus gros, elle qui dans une expérience précédente écrivait que ce serait celui-ci qu’elle choisirait. « J’ai essayé mais il fait trop froid dans la chambre » (Effectivement plus tard, en rangeant je trouve le gros plug plein de lubrifiant). Je la fais reculer jusqu’à ce qu’elle trouve le plug ventouse qui l’attend. Elle recule encore et sous mes encouragements commence à se baiser. Pas de raison pour que sa bouche reste inactive alors j’y mets ma queue. Prise comme la chienne qu’elle est, par devant et par derrière. Un régal à vivre et quand je lui dis qu’elle aimerait que ce soit une vraie queue qui la baise je la sens troublée, la fellation redouble de vigueur. Et ses coups de reins également du coup le gode finit par tomber. Je le remets et à nouveau il tombe. Je la ramène sur le matelas et la baise.  Ah … Etre en elle, sentir son sexe bouillant m’accepter, me réclamer. Aller et venir comme s’il s’agissait d’un sprint et que ma vie en dépendait. Je lui retire les pinces des seins et elle pousse ce cri de libération avec autre chose qui signifie « ça fait mal mais c’est bon ». Je lui retire le bandeau et elle pousse un cri de surprise elle qui pensait être dans la chambre, se découvrir là, dans le salon l’étonne. Elle gémit, se tord, crie et moi je jouis … jouis …

 

Elle : Aujourd'hui , mon maître a décidé que je serai sa chienne...je commence à comprendre la laisse que j'avais cachée. Je n'avais pas encore rendu les objets que j'avais cachés la veille (cf Texte Insoumise à mater) et par l'intermédiaire d'un mail IL m'ordonne que je les remette à leur place, je préfère m’exécuter sagement.

Nous partons ensuite en balade de 2 bonnes heures et suite à cela je décide d'aller prendre une bonne douche. Problème, j'ai oublié mes vêtements dans le salon, je m'enroule dans une serviette et je déboule dans le salon. Mon maître est là et je lui demande s' il peut me passer mes affaires et là il me dit que j'ai déjà ma tenue qui m'attend dans la chambre...il me dit de me préparer et lui envoyer un sms une fois prête. Ah je n'avais pas prévu ça, il m'avait bien parlé d'une soirée, de chienne et bien je n'allais pas être déçue. Arrivée dans la chambre, je découvre disposés sur le lit, 3 plugs de taille différente, de la vaseline, un jeu de pinces pour mes seins et un autre pour mon sexe ainsi que mon collier et une laisse ! Moi qui étais détendue à la sortie de douche, je suis parcourue d'un frisson. Bon allez je me lance, d'abord commencer par le plug, je prépare mon cul.et essaie d'enfiler le plus gros mais le froid a raison de moi, je me reporte sur le moyen qui lui s'enfile direct. Bon maintenant le collier puis les pinces. C'est bon j'envoie le sms et IL arrive avec un bandeau. Une fois le bandeau en place, il me prend par la laisse et tire, le carrelage est froid sous mes mains et mes genoux. Être tirée à 4 pattes est humiliant mais me fait mouiller de fou. A force de tourner à droite à gauche, je suis désorientée et oh surprise IL m'indique que je dois monter sur le matelas moi qui me croyais dans le salon, on est dans la chambre enfin je ne sais plus. Je monte sur le matelas au ras du sol et là Monsieur joue avec mon gode, mon sexe, tire sur les chaînes, c'est délicieusement bon ; IL se met à me caresser la tête comme la chienne que je suis. Quelques claques se perdent sur mes seins au passage puis IL me demande de retirer le plug et tire avec la laisse pour m'emmener je ne sais où.

IL me demande de reculer jusqu'à sentir un gode qui je suppose est collé par sa ventouse sur un meuble. IL m'ordonne d'introduire ce gode dans mon sexe er de me faire du bien dessus en même temps que je le suce ce que je fais avec délectation. Et là il me sort : 'Imagine que tu te fais prendre par un autre pendant que tu me suces...' Mhhh oui je vois bien la scène et me met sans m'en rendre compte à accélérer la cadence, lui n'en a pas perdu une miette et m'interrompt : «'Mais dis donc petite salope c'est que ça a l'air de te motiver d'imaginer ce plan à 3 ?! » Ben oui, c'est un de mes fantasmes (assez courant) mais de là à le réaliser cela reste pour moi de l'ordre du fantasme.

Puis IL reprend la laisse et m'entraîne sur le matelas, il me prend en levrette sans sommation, ces coups sont violents, il me besogne jusqu'à se déverser en moi. C'est délicieusement bon. IL m'enlève mon bandeau et je découvre que nous nous trouvons près de la porte d'entrée pas du tout où je pensais être.

Ce premier essai en tant que chienne m'a surprise, je ne pensais pas que j'aimerais me faire tirer en laisse, sentir son pouvoir sur moi différent de celui de soumise. Plus insensible, beaucoup moins conciliant j'ai découvert une autre facette de mon maître et de moi-même. A renouveler....

 

J'ajoute ces quelques mots de Cléa :
Quand vous êtes arrivés dans la chambre, avant que vous me passiez le bandeau je vous ai vu tout troublé également et cela m'a rassurée. Nous étions tous les 2 empruntant un tout nouveau chemin certes différent de la relation 'simple' D/S' mais tellement intéressant et curieux que je me suis mis dans le rôle de cette chienne. J'adorais sentir la laisse me tirer ne laissant aucun doute sur ma condition, me promener à 4 pattes nue pourrait sembler très dégradant pour moi c'était comme une fierté d'être tenue par vous. J'étais dans un état second, d'être à votre entière disposition en sachant que vous pouviez faire ce que vous vouliez de moi encore plus qu'avec Cléa la soumise, je ne peux l'expliquer, j'ai adoré être traité de la sorte. Je me suis imaginée être assise à vos côtés ou seule la position 4 pattes ou assise m'était autorisée, vous m promenant à votre guise dans la maison, vous me prenant sans vergogne quand bon vous le désiriez seule la position à 4 pattes étant autorisée ou m'obligeant à vous sucer....rien qu'en l'écrivant cela me fait mouiller...

6 avril 2021

Soumise N

D'abord parce qu'elle lit attentivement ce blog, qu'elle laisse des commentaires ce dont je lui suis reconnaissant. Ensuite parce que tout comme nous elle est en couple, qu'elle découvre les joies et douleurs du monde BDSM; ses cntraintes et ses libertés j'ai décidé de lui mettre ici un lien vers son blog :

Le blog de Soumise N

A ceux qui s'aventureront là je vous souhaite une bonne lecture.

3 avril 2021

Fessée(s)

Lui : Pour nous, vacances en bord de mer hors période de grandes affluences signifie longues ballades. Alors que nous nous préparons je lui dis qu’elle ne doit pas mette de culotte. Surprise, hésitation. Et puis elle commence à négocier. Et si … Et si au lieu de pas de culotte je la fessais … Elle dit ça vite fait sans avoir réfléchi …. J’accepte à son désarroi. Elle hésite à nouveau, ne sait pas, tergiverse …. Je lui laisse quelques minutes de réflexion et attends sa réponse. Ce sera la fessée plutôt que la honte de se balader sans culotte. Assis sur le canapé elle s’allonge sur moi, les fesses, ses adorables fesses sur me genoux. Ma main vient à leur rencontre avec douceur et amour. J’aime son cul, j’aime ses fesses, leur bombé, leur forme. Ma main s’active et déjà il rougit de plaisir pendant qu’elle gémit doucement. Son cul se tend, attendant la prochaine claque fessière. Ca aussi j’adore quand elle est tellement salope qu’elle cherche à recevoir son du. Ma main se fait plus dure, le rythme plus rapide. Un pouce se glisse dans sa chatte trempée alors que ses fesses sont maintenant d’une belle couleur. Puis juste ce doigt en elle qui va et vient. Et ma main repart dans un combat que les fesses ont déjà perdu. Doucement, plus vite, plus fort. Les fesses, les hanches, les cuisses sur toutes leurs longueurs. Cléa se débat, elle veut que ça cesse. Ses mains viennent sur ses fesses, tente de les protéger mais cette faible armure ne résiste pas et à nouveau ses fesses perdent la bataille. Et puis … Et puis elle est partie là-haut, dans ce monde étrange où je ne suis pas invité. Je la fesse encore un peu, continue de lui chauffer une peau déjà brûlante et la laisse redescendre.
Quelques minutes plus tard …. Je suis prêt à partir et là voilà qui arrive. « Je n’ai pas de culotte ». Encore une fois fierté pour moi. Elle qui il y a quelques mois encore était vanille, la voici qui part se promener sans aucun sous vêtement. Je sais que là aussi c’est un effort pour elle, qu’elle n’est pas nécessairement à l’aise de se sentir nue sous ses vêtements avec en plus cette chatte fraichement épilée. La promenade est longue. Je n’ose pas lui demander ce que cela lui fait d’être nue, ce que cela lui fait de sentir le vent sur son sexe, sur ses fesses. Mais je le redis … Je suis fier qu’elle soit ma Soumise.

Elle : Monsieur a envie que je ne porte pas de dessous aujourd'hui et me demande de ne rien mettre avant de partir en balade. Moi je ne suis pas trop partante je dois bien l'avouer et je tente de négocier. Une bonne pipe en échange, non pas assez intéressant et puis je vois le canapé et je sais qu'il a toujours fantasmé de me fesser alors je lui propose ce deal une bonne fessée et en échange je peux porter un sous-vêtement. Je le vois déjà s'imaginer la scène et sans trop hésiter IL accepte.

Il s'assoit et je me couche sur lui habillée, ma jupe remontée, IL commence à me fesser d'abord doucement puis celles-ci se font plus dures, plus cinglantes et s'enchaînent à un rythme effréné. Je n'en peux plus, enfin c'est ce que je pense. IL fait une pause et repart de plus belle, je crie de douleur, de plaisir, des larmes coulent et lui continue sans discontinuer. Par moment, j'essaie de l'interrompre avec mes mains et cela ne fait qu'accentuer son plaisir et son envie d'être plus méchant. Mes fesses me brûlent et en redemandent de plus belle, je lui fais comprendre en lui tendant mes fesses, en me cambrant et les fessées repartent. C'est délicieusement bon, je pars vers cet autre état où je ne ressens quasi plus rien j'entends claquer, je sens la brûlure mais c'est d'un agréable. Il se rend compte que je suis partie et arrête. Mes fesses sont rouges et me brûlent mais qu'est ce que j'ai aimé !

Ah oui étant dans un état autre, Monsieur en a profité pour m'ordonner de ne pas mettre de sous vêtement sous mon jean et j'ai accepté...

 

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Monsieur et sa Dame
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