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Monsieur et sa Dame
18 juillet 2022

week-end

Après de longues heures dans une petite voiture nous voici enfin arrivés à destination, une belle et grande maison où nous avons la certitude de ne pas être dérangés. Je pose sur la table de la cuisine le contrat et son collier. Mais elle ne démarre pas aussi vite que je l’espérais. Je la sens tendu. Notre vie vanille nous a envahit dernièrement et il est difficile de se laisser aller.

Nous installons nos affaires dans la chambre et je profite de la situation pour l’aider à se détendre en lui massant la tête et les épaules. Alors que mes pensées étaient « pures » voilà que la situation se relâche et – je ne sais plus comment nous en sommes arrivés là – nous avons baisés, je l’ai baisée comme un sauvage.

Le lendemain réveil tranquille. Comme nous ne sommes que tout les deux nous prenons le temps de nous laisser vivre. Cléa, dans mon souvenir, a signé le contrat la veille mais je n’ai pas su user de la situation. Là après une bonne nuit de sommeil et loin de nos soucis quotidiens je me dis qu’il est temps de prendre les choses en main. Je réfléchis à comment lui dire que si elle a signé un contrat c’est pour le respecter, je la vois en robe, son collier autour du cou. Je suis sûr qu’elle remarque mon regard fier d’elle, mon bonheur de la savoir prête à être ma soumise.

Nous déjeunons sur la terrasse. Même si la maison se trouve dans ce que des parisiens pourraient appeler la campagne, il y a quand même des voisins mais Cléa garde son collier alors qu’il n’y a pas si longtemps elle n’aurait rien voulu savoir et pour pouvoir profiter de ce beau soleil de printemps j’aurai du accepter qu’elle le retire.

L’après-midi se déroule tranquillement jusqu’à ce que je lui demande de se mettre nue et lui rappelle qu’elle a 3 gages à son actif. J’ai préparé sur mon téléphone portable deux roues du hasard, une pour les parties du corps et une pour l’objet que je vais utiliser pour lui donner les 5 coups qu’elle mérite.

Le tirage indique la main pour les seins, le martinet pour l’intérieur des cuisses et à nouveau le martinet pour le sexe. Comme elle refuse le martinet une deuxième fois je l’autorise à faire à nouveau tourner la roue. Et bien ce ne sera pas le martinet tant redouté mais la ceinture encore plus redoutée.

J’aime lui claquer les seins, j’aime le bruit de ma main qui rencontre sa peau, la sensation que cela procure sur la paume, sur les doigts. Les 5 coups sont (trop vite) expédiés, alors que je m’apprête à saisir le martinet la voilà qui me dit qu’il en manque encore 5. Je lui fais remarquer que nous avions convenu d’un chiffre de 5 puis sans discuter plus, j’en ajoute 5 de plus pour son plaisir et le mien.
Les cuisses reçoivent également leur 5 coups de martinet plus 5 autres et le sexe ses 10 coups de ceinture. Je sais que cela doit lui faire mal, sentir le cuir de la ceinture frapper à cet endroit si sensible ne doit pas être des plus agréables mais elle se tend vers moi, se cambre pour s’offrir en toute impudeur.

A peine cette mise en bouche finie je lui propose d’aller se promener. Je suppose que vu comment je l’ai chauffée elle s’attend à autre chose mais j’ai bien entendu une idée derrière la tête. Je sais que se promener en robe la dérange je l’autorise donc à se mettre en pantalon. Je lui donne un bracelet et lui indique qu’en extérieur, comme elle ne peut pas porter son collier, il sera le signe discret de sa soumission. Une fois qu’elle est devant moi je lui descends son jean et sa culotte, la fait assoir sur un fauteuil et lui met des boules de geishas.
La balade va durer plus d’une heure, à parler de tout, de rien, à profiter du soleil, du ciel bleu et du calme du lieu. Tout le temps de cette promenade je me demande ce que cela lui fait, quelles sensations cela procure mais je n’ose pas lui demander.

De retour à la maison je lui retire les boules de geishas et la fais mettre nue, assise sur un fauteuil, yeux bandés et bracelets aux poignets. Elle a pour ordre de se caresser sans jouir pendant que je prépare la suite. Je m’active, met en place ce qu’il faut, m’assure qu’elle se caresse toujours. Après quelques minutes je viens la chercher. Doucement je l’amène sur le lieu où elle sera à ma merci.

Je lui attache les mains au-dessus de la tête et la caresse, la doigte. Je profite pleinement de son corps offert pour m’abreuver de sa peau, de ses seins, de son odeur. Je la plug, claque ses seins sans douceur, prends de nombreuses photos. D’ailleurs je regrette de ne pas avoir penser à faire en sorte qu’elle entende le déclenchement de l’appareil. Cet oubli sera réparé lors de notre prochaine séance 😊

Je suis toujours surpris par la manière dont elle accepte les claques sur les seins. Qu’elles soient « légères », de simples claques qui ont juste pour effet de les faire bouger aux mandales bien lourdes qui lui écrasent la poitrine elle gémit, tend sa poitrine dans l’attente du coup suivant et j’adore la voir comme ça.

 le_son_de_ses_seins_que_je_claque

 

Des pinces sont venues se poser sur ses seins, sur son sexe. Puis des poids et quel plaisir quand après avoir mis des « petits » poids sur les pinces de ses tétons je lui demande si elle en veut plus et qu’elle me répond oui.

J’ai également fait danser sur son corps la roue dentée. Elle l’avait déjà écrit dans un mail précédent elle adore cet objet et les sensations qu’elle lui procure. Et comme moi j’adore la voir se tordre de douleur / plaisir et l’entendre gémir je m’en donne à cœur joie. La roue à parcourue ses seins, son ventre, ses cuisses, son sexe. Et à nouveau elle m’a étonné, balançant son bassin en avant jusqu’à mettre la roue au contact de son clitoris. Ma soumise n’est pas seulement soumise, elle est également masochiste ce qui, avec mon coté sadique, s’accorde parfaitement.

Bien sûr je l’ai détachée mais avant cela je lui ai retiré les pinces de ses seins sans douceur, sans la prévenir. Un déferlement de ce que je pense être de plaisir lui a fait perdre pied. La sentir toute tremblante contre moi, la respiration courte … Quel souvenir ! Quel sensation !

Une fois qu’elle a repris ses esprits je la fais agenouiller et lui donne ma queue à sucer. Elle la prend délicatement entre ses lèvres et entame sa danse de la langue qui a le don de me rendre fou. Elle suce merveilleusement bien, tout en douceur et en délicatesse et si je me laisse aller s’en sera terminé de notre séance je le sais, alors je l’arrête et la cravache, le dos, les seins. Elle est tellement dans le plaisir qu’elle gémit à chaque coup.

IMG_0570

 

 Un énooooorme merci à Cléa qui a accepté pour la première fois qu'une photo d'elle soit pubiée.

 

Pour terminer cette séance je la fais mettre dans le fauteuil, lui donne un gode et lui ordonne de se baiser jusqu’à jouir. Je peux dire qu’elle y a mis du cœur, se défonçant sans vergogne devant l’objectif de mon téléphone, se lâchant dans ses mots, dans son attitude. Finalement elle jouit longuement dans un râle qui aurait presque pu me rendre jaloux.

Plus tard dans la même journée nous avons baisé. Je l’ai emmené dans le subspace, cet espace mystérieux pour moi mais où elle se sent si bien. Elle m’a avoué dans un râle qu’elle veut bien servir de vides-couilles, en position de chienne juste bonne à se faire saillir. Ces mots ne sont pas tombés dans un puit sans fond.

 

 

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