Scéance : La fessée

Lui :Je lui avais envoyé quelques jours auparavant un mail avec une pièce-jointe protégée par mot de passe. Dés qu’elle en a pris connaissance elle m’a demandé quel était le mot de passe et j’ai bien entendu refusé de lui donner. Rien de tel qu’un peu de torture psychologique pour faire monter son excitation.
Le même jour que la première punition et le rasage, quelques heures plus tard je lui indique que je dois m’absenter et lui donne avec, j’en suis sûr, une lueur au fond des yeux qui ne laisse aucun doute sur le pourquoi, son portable.

Sitôt sortis je lui envoie un SMS. « Nouveau mail. MDP : chienne ».

J’imagine le trouble qui l’habite au moment où elle ouvre le document. Son ventre qui se contracte, peut-être même les jambes légèrement tremblantes.

A l’heure dite je rentre chez nous. Je prends mon temps, faisant suffisamment de bruit pour être sur qu’elle m’entend, là-haut, à quatre pattes, un plug qu’elle se sera elle-même enfoncé entre les fesses.
Dans les escaliers j’ai le plaisir de découvrir ses vêtements joliment présentés. Encore quelques marches et je la vois, cuisses écartées, cul en l’air, la base du plug bien visible. Sa chatte nouvellement rasée est ouverte et brillante du désir qui la consume. Encore quelques marches et … Il manque le vibro qu’elle s’est acheté … Grrrrr …. Note pour plus tard … Penser à une punition.

Je passe à coté d’Elle, la félicite pour la position et la refroidit en lui signalant ce manque. Elle marmonne une explication dont je n’ai que faire. Elle m’indique à ma demande ou est rangé l’objet oublié. En allant le chercher je jette un coup d’œil sur les plugs parmi lesquels elle a fait son choix. Je suis encore une fois agréablement surpris. Elle qui n’a pas l’habitude de la sodomie, juste un petit plug inséré quelques minutes elle n’a pas pris le plus petit. Décidément elle est très surprenante cette Cléa et j’aime ça.  
J’arrive vers elle avec le vibro à la main. Maître stupide qui n’a pas pris la peine de regarder comment ça fonctionne. Après quelques tâtonnements et avec l’aide de Cléa j’arrive à mettre l’appareil en route et test le bouton de changement de rythme des vibrations.
Alors que je l’approche de son sexe en feu Elle me fait part de sa peur d’être ainsi prise par les deux trous. Je la doigte pour la détendre. Je suis surpris de sentir le plug, j’y vais doucement. J’aimerai continuer à jouer ainsi mais le temps nous est compté/ Avec douceur j’introduis le vibro et je le mets en route. Les vibrations font leur effet sur cette salope qui vite se met à dandiner, à geindre, à gémir. Je joue avec les différents modes cherchant celui qui la rend le plus folle.

Après quelques minutes à l’écouter et à la voir se tordre je retire l’objet et lui demande d’aller chercher son collier, à quatre pattes comme la chienne qu’elle est et de me le ramener entre ses dents. Je la regarde avec plaisir se déplacer. J’aime son cul avec ce plug qui la transperce. Bien sur elle doit me présenter son collier avec la phrase ou le texte de soumission que je lui ai demandé d’écrire et d’apprendre et là … Patatras … La belle Cléa en est incapable. Je vois dans son regard le désespoir de ne pas pouvoir sortir un seul mot. Elle m’avoue ne pas connaitre le texte par cœur, qu’il est trop long, trop mal écrit. Je lui mets sous les yeux le texte mais elle est incapable de le lire. Je la fesse avec le collier. Le cuir en est dur, lourd et mon geste n’est pas léger non plus. Je la rassure ensuite et enfin, d’une voix qui gagne en assurance au fur et à mesure elle lit

« Me voici Cléa agenouillé devant vous mon adorable Maître. Je vous présente ce collier, signe de ma soumission. Je vous serai entièrement dévoué corps et âme. Même si parfois je peux être effarouché sous saurez me mater pour m’emmener là où vous le désirez.
Acceptez-vous de me mettre ce collier pour que votre Cléa et uniquement votre Cléa franchisse le palier menant à sa condition de chienne ? »

Bien sûr que j’accepte. Après lui avoir mis le collier, je la fais se poser sur le lit et je commence à la fessée. Doucement d’abord. J’alterne fessées, caresses et jeu avec le plug. Je profite de l’occasion pour lui demander si Elle, qui n’a pratiquement jamais été enculé aime la sodomie. Dans un souffle Elle répond que oui. Je la fesse de plus en plus fort, retire le plug et continue de la fessée. Son cul est rouge, partout, autour, sur le cotés. Une jolie couleur qui lui va bien. Je vais chercher la cravache et en use sur ses fesses, son sexe son dos. J’essaie de doser mais ce n’est pas chose facile. Manque de pratique, et surtout la peur de me laisser entrainer et de frapper comme un forcené ce qui aurait un effet désastreux. A un moment elle ne répond plus, ne réagit plus. La voilà à nouveau plongé dans le subspace. Alors comme elle m’a indiqué que dans cet état là je peux tout lui faire, que les sensations sont décuplées, différentes, agréables je plonge mes doigts en Elle et la branle sans douceur. Je la prends dans mes bras le temps qu’elle atterrisse, la cajole, lui dit que  je l’aime, qu’Elle est belle. Une fois revenue à elle nous nous allongeons l’un à coté de l’autre et je la vois se tordre, sa respiration entièrement contrôlée. Les spasmes de plaisirs viennent les uns après les autres mais elle garde le contrôle. Alors je l’encourage, lui rappelle qu’elle est une chienne, une salope et qu’elle doit jouir pour satisfaire ses envies. Je lui redis que l’énergie sexuelle est une des plus puissante et qu’il faut la laisser passer dans tout le corps. Quelques fessées plus tard elle se lâche enfin et c’est un tourbillon de cri et de sexe lancé en avant qui viennent clôturer cette magnifique journée de soumission.

Elle :

En début d'après-midi, Monsieur devait s'absenter une vingtaine de minutes ; La veille, il m'avait envoyé un mail avec un document joint qui ne pouvait s'ouvrir que par mot de passe qu'il ne m'avait bien sûr pas encore transmis. Le titre était 'Pour (presque) maintenant'. Avant de s'absenter, il me donna mon portable, et je compris par son sourire malicieux que j'allais recevoir un message de sa part. Quelques minutes après son départ, ledit message je reçus qui me disait : « Voici le dernier mail. Le mot de passe est : chienne. Tu peux garder tes bas si tu veux. A tout à l'heure. ». Ouh là ça promet, j’allais enfin pouvoir lire son document, même si une petite inquiétude émergeait quant à son contenu.

En découvrant son texte renommé 'Pour maintenant', je fus au départ inquiète, vais-je réussir à faire ce qu'il me demande et qu'il soit satisfait ? Puis après quelques secondes, le temps de m'imprégner de ces demandes je me sentais plus qu’enchantée car c'est ce que j'attendais de ma position de soumise et très excitée, moi Cléa bonne chienne que je suis comme aime souvent me le dire mon maître.

Le texte était le suivant :

« Ma très chère Cléa,

Nous voici seuls, et toi encore plus puisque je suis parti pour quelques minutes. Aux alentours de 14H15 j’ouvrirai la porte de notre antre. Aux alentours 14h15 je veux te trouver dans la position suivante, à quatre pattes, face contre terre, bien cambrée. Je veux en montant les escaliers avoir en premier la vue de ton cul si adorable, puis celle de ta chatte nouvellement rasée et enfin tes cuisses largement ouvertes pour que je puisse profiter de cette vue magnifique que tu vas m’offrir. Histoire d’agrémenter cette scène tu auras pris soin de poser au sol, entre tes jambes ce nouveau vibromasseur que tu as acheté.

Ne te précipite pas. J’ai oublié de te dire … Tu trouveras 3 plug sous mon oreiller. Choisis en un et met le en place avant de prendre la position indiquée ci-dessus.

Monsieur. »

Ne pas me précipiter, bon j'ai quinze bonnes minutes pour me préparer, ça devrait aller. Je monte dans la chambre, découvre les 3 plugs, j'hésite entre la taille moyenne et la plus grande, mon choix se porte sur la moyenne même si la grande taille m'attirait, la prochaine fois c'est sur je l'essaierai. Puis je me déshabille et décide de disposer mes habits dans l'escalier d'abord la jupe, mon chemisier, mon soutien gorge puis mon string ; je garde mes bas comme il me l'avait proposé.

Le temps file et il ne me reste que 3-4 minutes, je mets le plug puis je m'installe à 4 pattes dos à l'escalier tel que demandé. Ma tête posée par terre, mes cuisses bien écartées, cambrée et bien en arrière. Quelle position ingrate mais tellement excitante, je mouille déjà, je brûle de l'intérieur. Ca y est, il est rentré, je l'entends commencer à monter les escaliers et s'arrêter mais qu'est-ce qu'il fait ? Je l'entends pousser un soupir (de contentement ?), il s'attarde (allez monte !), enfin arrive à mes côtés. Il a l'air plus que satisfait, quand soudain il me demande où se trouve le vibro...merdoum je l'ai complètement oublié celui-là. Il me dit avec joie que j'ai gagné une nouvelle punition à cause de cet oubli, mmmmh disons que gràce à mon trou de mémoire, j'en ai gagné une nouvelle ...

Il va chercher ce nouveau vibro et l'allume avant de me le fourrer dans ma chatte, il s'amuse à changer les vibrations dont leur rythme soit continu soit complètement décousure me font perdre la tête, le contrôle de mon corps ; il passe au plug avec lequel il se met à jouer et semble ravi de mon choix de taille.

Puis il me présente mon très cher collier de chienne, et me demande de l'introniser. Ce moment fut vraiment difficile pour moi, j'avais préparé un texte mais blocage total au moment de le lire. Il m'a alors durement fessé avec le collier et a recommencé plusieurs fois jusqu’à ce que je craque et que je me lance. Après avoir lu mon texte qu'il a manifestement bien apprécié, il m'a mis le collier et a recommencé à me fesser doucement puis plus durement. Une fois mes fesses bien échauffées, la cravache a remplacé ses mains qu'il a fait passer sur mes fesses, mon dos, mes cuisses et ma chatte. Il m'a tellement cravaché que je suis partie dans cet autre monde, je ne peux alors plus parler et mon corps ne répond plus. Je suis bien, tellement bien dans ce monde si particulier. Il m'allonge sur le dos, se met à me branler comme un damné, à me mordre sur mes seins qu'est ce que c'est bon, je suis dans une montée de jouissance comme je l'aime, je me sens encore partir plus haut, plus loin, je ne peux l'expliquer, une véritable drogue du plaisir.

 Et puis je reviens doucement à moi, retrouve ma voix et je sens des vagues puissantes de plaisir m’envahir, j'essaie de me contrôler mais c'est sans compter sur mon maître qui m'ordonne de laisser venir, il me fesse pour me faire lâcher, me laisser emmener vers ce tsunami et je me laisse emporter. Je deviens une chienne en folie, je ne me contrôle plus, je râle de plus en plus fort de plaisir et donne des coups de bassin si intenses si exceptionnels contre le corps de mon maître qui m'encourage à sa façon en me traitant par exemple de grosse salope, tout mon corps se contracte avant un relâchement total. Lors d'un tsunami, plusieurs vagues se fracassent sur la terre, c'est la même chose en moi, cela a recommencé encore et encore jusqu'à épuisement. C'est un état de nirvana total.

Merci à vous mon maître de m’avoir transportée vers cette incommensurable jouissance, accompagnée et rassurée tout au long de cette journée.

Votre dévouée Cléa.

Comments

[Soumise N]

Jolie histoire, la position de chienne offerte à son Maître, le choix du plug, le retenue des mots qui ne veulent pas sortir, porter un collier peut paraitre simple, mais le symbole est très fort, les hésitations du Maître de peur d'aller trop loin, je perçois le respect profond que vous avez l'un envers l'autre et cette envie commune de procurer du plaisir c'est très beau.

N