joie du télétravail

Lui : je devais faire des courses, aller dans les magasins pendant que Elle travaillait. Elle avait mis cette robe qui lui va si bien et qui me donne tant envie de la caresser. Et puis avec les caresses est venue autre chose, le désir pour la première fois de la soumettre non pas à ma main, à mon désir mais à un ordre. Alors je lui mis ces pinces que nous avons testé sur les lèvres de son sexe. Que j'aime La voir ainsi parée avec cette chaine brillante. Mais par dessus-tout j'aime ce moment ou Elle anticipe la pince, sa respiration qui s'arrête et le petit cri quand la morsure a lieu. 

 
« Je reviens dans une heure, je les retirerai à mon retour. Si c'est trop douloureux, envoi moi un message ». 

Vite, voiture, magasin, un autre magasin. Le temps passe. J'imagine qu'Elle aussi le trouve qui passe mais pas assez vite. Je Lui envoie un message « je serai là dans 15 minutes ». En envoyant ce message je sais que l'attente qu'il va provoquer décuplera les effets des pinces 

  A peine arrivée je me précipite dans son bureau. Là je la fais mettre debout et lui retire ces bijoux. Là aussi, la tension du corps, les tensions de partout pour éviter cette douleur qui pourtant l'envahit en même temps que le plaisir. 

Je la prends dans mes bras, la câline tendrement et lui glisse à l'oreille que je suis fier d'elle. Ai-je rêvé ou bien c'est vraiment de la reconnaissance que j'ai vu dans son regard ? 

Elle : J'étais tranquillement en train de travailler quand IL est arrivé dans le bureau avec cette lueur noire au fond des yeux. Je crois que la robe que je porte Lui a donné des envies spéciales. Il m'a annoncé qu'il partait faire des courses pendant 1 heure et que pendant son absence, je devais porter ses pinces qu'il adore tant. 

Une heure ! Cela me semble vraiment  très long à supporter mais pour lui j'accepte. 

Il s'approche avec ses très chères pinces, je retiens ma respiration et délicatement met la première sur ma lèvre qui me fait gémir puis il fait de même avec la seconde que j'anticipe un peu mieux. 

Puis il m'annonce qu'il part, j'entends la porte d'entrée se fermer et silence. Silence dans la maison oui mais dans mon corps sur mes lèvres c'est une autre histoire, c'est comme deux morsures permanentes qui si je bouge trop augmentent sensiblement.

Le temps passe et j'arrive à gérer plutôt pas mal ces 2 petits objets. Sauf que j'ai envie de boire et que pour cela je dois descendre, allez courage, je me lève et là je sens la chaîne tirer vers le bas entraînant ces pinces qui tirent mes lèvres déjà fortement endolories. Je descends les escaliers avec le tintement de la chaîne qui continue à tirer mes lèvres, IL aurait été là, il aurait j'en suis sur dégusté ce moment. Pendant cette descente, j'ai pensé les enlever pour les remettre quand je serai remontée mais mon envie d'aller jusqu'au bout de cette heure a été la plus forte.

Je remonte dans le bureau et j'entends qu'un sms est arrivé, « Je serai là dans 15 minutes »....le fait de savoir qu'il restait 15 minutes a décuplé les morsures que je maîtrisais jusque là plutôt bien. Chaque minute passée, la douleur se faisait plus vive, plus lancinante, plus mordante ; je ne sais pas comment j'ai tenu, la respiration calme et profonde m'a sûrement beaucoup aidée... Allez dépêche-toi....je vais craquer...quand enfin j'entends la porte d'entrée s'ouvrir puis ses pas se précipiter dans l’escalier. Ca y est,  IL est là et constate avec un immense plaisir que les pinces sont toujours en place. IL s'approche et me les retire, ce moment est le pire de tous, c'est une délivrance accompagnée d'une douleur indescriptible.

Quand en me prenant dans ses bras, il me dit qu'il est  fier de moi, je me sens tellement bien, moi ta soumise  fière d'avoir réussi à respecter Ton ordre. 

Comments

[Lui]

Soumise N. Je ne connais pas cette morsure mais je sais le soupir qu'elle a poussé quand je lui ai retiré les pinces. Ce soupir rien que de l'écrire aujourd'hui me procure encore un frisson ....

[Soumise N]

Bravo à Cléa d'avoir réussi cette épreuve, elle peut être très fière d'elle, je connais la morsure des pinces, cela a dû lui demander beaucoup de maitrise. J'aime le côté prévenant de Monsieur, imposer mais respecter un très beau début.

N