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Monsieur et sa Dame
27 mars 2021

L'insoumise

Lui : les jours se mélangent, deuxième ou troisième … Peu importe. Cléa l’insoumise s’est invitée dans nos vacances. Elle m’apprend juste comme ça qu’elle a caché son collier de chienne ainsi que les clés du coffre à jouet et que je ne les récupèrerai pas. Après lui avoir demandé gentiment, puis méchamment nous en venons aux mains et elle me gifle avec dans le regard un air de défi, de bravache. J’avoue avoir été surpris, désarçonné par son geste mais je me suis vite repris. Gifle, cheveux tirés, poigné bloqué dans une main pendant que de l’autre je lui claque durement un sein. Bloqué contre un mur elle ne peut que supporter mes coups qui sont là pour lui faire mal, pour lui rappeler que je suis le maitre et qu’elle est MA soumise, que ce qu’elle vient de faire est inconcevable et ne peut pas se reproduire. Mes mots sont comme mes coups, durs, secs et mon regard en accord avec le reste. Elle faiblit, Cléa l’insoumise repart et je retrouve le regard de ma chienne, de ma salope. Je la fais mettre à genou et j’aime son regard qui se projette sur la porte fenêtre ouverte sur le chemin où peuvent passer des vacanciers en ballade. Toujours cette retenue à l’idée de s’exposer aux regards des autres mais là je veux juste la briser, avoir la certitude que cet évènement restera dans sa mémoire. « Le front contre le carrelage ». Elle a un instant de doute puis prend la position. On dirait vraiment une pénitente dans une église. Je vais manger un morceau mais la colère bouillonne toujours en moi. J’ai envie de la fessée, de lui faire mal, de l’attacher écartelée face contre la table et de lui planter le gode dans le cul avant de partir en ballade. Ne pas se laisser envahir pas les émotions, garder le contrôle, rester calme. Ma tension intérieure diminue, je m’approche d’elle et la prends dans mes bras. Je la sens heureuse de m’avoir contre elle, soulagée que je la serre moi. L’après-midi se poursuit et je pars me promener. Je ne sais plus pour quelle raison elle ne part pas avec moi et me rejoindra plus tard.

Je profite de la plage sous un soleil encore timide mais tellement bienvenu puis je la vois qui vient à ma rencontre. Elle me glisse à l’oreille j’ai amené l’un des objets. Assez bêtement je tends la main pensant qu’elle va me donner les clés de la boite. Elle me dit « non, je ne peux pas le donner là ». Je la regarde plus attentivement, aucun défi dans son regard mais une soumission totale. L’éclat de la boucle de son collier de chienne attire mon regard dans le col de son manteau. Elle l’a fait, elle a osé. Elle est dehors, sur une plage avec quelques promeneurs autour de nous et elle porte son collier de chienne, le collier qui signifie, je suis une chienne, la chienne de mon Maître et il peut faire de moi ce qu’il veut. C’est venant d’elle un signe fort de soumission, l’acceptation de son statut. Je suis heureux, fier d’elle, tellement fier de ce geste.


Plus tard dans la même journée je lui demande de me rendre le reste et à nouveau son regard change, à nouveau le défi est là. Elle ne le sait pas mais je peux ouvrir la boite sans les clés. Alors qu’elle croit que tout est gagné, que sa « plaisanterie » va lui apporter une petite victoire je lui passe les bracelets au poignets et l’attache mains au-dessus de la tête dos à une porte. Claque, fessées, seins malmenés, écrasés entre mes doigts, tétons étirés, roue crantée sur les seins, les cuisses, le sexe. Et à chaque fois la même question « Où les as-tu mis ? Encore des claques, des gifles. Je pose des pinces reliées à ses seins, fait de même sur son sexe et met une lourde chaine entre celle de ses seins et celle de son sexe. Je vois ses tétons tirés vers le bas, les lèvres de son sexe s’étirée. Elle est belle ainsi, magnifique. J’ajoute sur son sexe les pinces japonaises, un de mes derniers achats. Pour les avoir essayés sur mes tétons je sais qu’elles sont serrées, très serrées. Je joue avec la grosse chaine, la prenant dans ma main et la laissant choir. Je la torture de toute la force de mon imagination. Comme elle me dit que les pinces japonaises lui font mal je les retire et continue de jouer avec elle. Elle m’indique les différentes cachettes mais je veux qu’elle paie. Alors je continue de la torturer, de faire rougir son corps. Elle bouge, se tord et finit par s’envoler vers le subspace. Je la détache, la maintient, l’entraine sur le matelas où elle dort, au pied du lit. Elle reprend ses esprits et je la baise, sauvagement, sans chercher à lui faire plaisir, juste pour le plaisir d’être en elle, de me vider les couilles en elle.

 

Elle : Monsieur est aussi en vacances, enfin nous allons pouvoir profiter pleinement de notre relation bien que en son premier jour de vacances, IL décide de partir faire des courses seul ce qui m'a quelque peu déçue et agacée.

Le temps passait et toujours pas de Monsieur, l'agacement est monté d'un cran, envie de me venger de son absence après tout pourquoi pas...et si punition il y aura je verrai bien jusqu'où sont ses limites.

 Je vais donc dans la chambre où il a rangé tout son matériel (cravache, godes, plugs, pinces, bracelets, laisse !...), il a confectionné une boîte avec un cadenas, les clés sont dessus, allez je me lance, je prends les clés et les cache dans une boîte à bijoux, la cravache au fond d'un placard, la laisse (!) dans mes vêtements, les bracelets dans son sac, son attirail pour me bloquer les jambes et je suppose les bras ainsi que mon collier dans un tiroir d'une commode. Je l'entends revenir, ouf c'était moins une, quand je croise son regard je ne peux m'empêcher d'avoir un sourire assez équivoque, IL se doute que j'ai fait quelque chose mais quoi il le saura bien assez tôt.

 Nous avions décidé de profiter du beau temps et comme prévu nous sommes partis faire un tour. Je suis peu conciliante à me faire embrasser en public ce qui a le don de l'énerver, il m'attrape par les hanches méchamment et je lui concède ma bouche (mmmh je commence à douter de ma rébellion, il va être furax !). Je lui avais dit avant de partir que je lui avais écrit un mail expliquant très légèrement mon sourire malicieux, pendant notre retour de balade je l'autorise à le lire. Ce mail est assez équivoque quant à ma position d'insoumise pour cette fin de journée et qu'une surprise l'attendait à la maison, je vois son regard interrogateur sans se douter de mes agissements.

Nous rentrons de promenade et je lui avoue ce que j'ai fait pendant son absence, IL part vérifier mes dires et revient très énervé, sa colère monte et j'aime ça, allez le chercher. IL essaie de m'empoigner mais cette fois je me débats je l'avais prévenu la soumise est absente au rendez-vous. IL me gifle ce qui accentue mon insoumission, je me débats de plus belle. Une de mes mains se libère et je le ...gifle... oups là je crois que je l'ai trouvé mon maître au regard dur et impitoyable. IL me bloque les mains et me retourne la gifle plusieurs fois. Puis IL m'ordonne de m'agenouiller front contre le carrelage froid et de rester dans cette position. Cette fois je sais que je dois lui obéir, la frontière a été dépassée, IL est furax et moi je jubile. Après un temps plutôt court ma foi IL me demande de me relever, je lève ma tête et m'aperçoit qu'IL est perdu, je suis allée peut-être un tantinet trop loin. Je lui présente mes plus sincères excuses , je l'ai profondément déçu, je m'en veux de l'avoir giflé, j'ai oublié où était ma place....

 Il part se promener, je décide de le rejoindre en lui faisant la surprise de porter mon collier pour lui (me) rappeler que je suis sa soumise et non l'inverse. IL est ravi et fier de cette action.

La fin de journée aurait pu se passer tranquillement mais Monsieur avait prévu une punition face à ce comportement inacceptable en sachant ce qui m'attendait, mon insoumission est revenue, une envie d'être matée. Quand il a voulu me caresser, j'ai fermé mes jambes ce qui a généré des fessées, des griffures puis IL m'a attrapée par la boucle de mon collier et m'a entraînée dans le couloir, j'avais beau essayer de me débattre cette fois IL ne me laissait aucune ouverture d'échappatoire, j'étais à son entière merci. IL m'a alors collée dos à une porte de chambre et m'a attrapée de force un de mes poignets, levé mon bras et attachée par une sangle que je n'avais pas remarqué, il en a fait de même avec mon autre poignet et je me suis retrouvée attachée sans défense. IL m'a présenté le mini vibro ainsi que les pinces et chaînes. J'étais encore habillée en chemise à moitié arrachée avec dessous un style de corset faisant ressortir ma poitrine, pour le bas jupe longue avec bas, porte- jarretelles et par-dessus un collant qui l'a quelque peu décontenancé mais très vite Monsieur s'est empressé de le déchirer pour l'entrouvrir juste au niveau de mon sexe. Ensuite Il s'est vengé de cette journée en me rappelant qui était le MAITRE, IL m'a donné des claques sur les seins, les cuisses et m'a présenté sa roulette piquante, celle qui me fait perdre tous mes sens quand elle passe sur mes seins et me fais gémir de douleur sur l'intérieur des cuisses. IL l'a fait passer partout sur mon corps, j'étais en train de partir, il a alors mis les pinces sur mes seins, mes grandes lèvres et m'a demandé si maintenant j'allais lui obéir comme la belle salope qu'il aime. Je lui ai répondu un NON, ce NON était le dernier rempart avant que je craque mais tant pis c'était dit. IL ne s'est pas laissé décontenancé bien au contraire, son regard est devenu sadique, je l'ai cherché l'aurais-je trouvé ce maître impitoyable qui ne s'arrêtera que quand lui l'aurait décidé ?

IL me présente alors des nouvelles pinces qui sont une gamme au-dessus des autres, IL me demande où je souhaite les mettre seins ou grandes lèvres , J'ai choisi les grandes lèvres, quand il a mis la première j'ai crié la seconde fut encore plus terrible. La douleur était intense, je ne sentais plus mes lèvres et à cela il ajoute une chaîne assez lourde qui les tire vers le bas, c'en est trop je me sens partir. IL s'aperçoit que mes jambes ne me portent plus et me détache pour m'emmener sur le lit. Là, IL sort le gode et me demande de me mettre en position de chienne et joue avec ce gode. Les va et vient deviennent plus violents je n'en peux plus et m'écroule mais IL m'ordonne de reprendre la position et recommence je jouis je m'écroule et je m'endors épuisée. Je suis redevenue avec joie sa soumise....

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Commentaires
S
Pour Cléa<br /> <br /> Bonjour Cléa, j'aimerai savoir ce qui t'a poussé à provoquer ton Maître de la sorte, envie qu'il aille encore plus loin avec toi dans ses punitions, test pour t'assurer qu'il est toujours motivé dans son rôle de Maître etc... cela m'intrigue, une soumise ne fait jamais rien au hasard...<br /> <br /> Récit très excitant, j'aime lire ce rapport de force, j'aime sentir ton côté rebelle qui ressort pour pouvoir mieux t'abandonner aux doux sévices de ton Maître.<br /> <br /> N
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Monsieur et sa Dame
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