punition 2 / suite
Lui :
Plus tard dans la journée elle m’avoue avoir des sanglots bloqués dans la gorge. Comme si le fait de ne pas avoir été au bout de la séance n’avait pas permis de libérer toute l’énergie de plaisir emmagasinée. Après discussion et échange de mails voici les solutions envisagées pour remédier à cet état désagréable :
- La chatouiller jusqu’à ce qu’elle se lâche entièrement
- Discuter, discuter et discuter jusqu’à ce que les barrières lâchent et qu’enfin elle se libère
- Faire l’amour en mode Vanille pour la faire jouir et briser la digue qui retient ses larmes
- Abuser de ma soumise.
J’avoue ne pas avoir hésiter trop longtemps et avoir choisi la dernière solution. Sans délicatesse je la fouille avec mes doigts, la mords, frappe sa poitrine. Mes doigts vont et viennent, s’enfoncent dans un bruit humide dans son sexe grand ouvert. 2, 3, 4 … La tentation est là d’aller plus loin tellement elle est ouverte mais non pas aujourd’hui. Plusieurs fois elle est au bord de l’orgasme mais rien à faire elle ne parvient pas à se lâcher. D’un coup elle m’ordonne « Prends le gode ! ». Je pense qu’en temps normal je l’aurai remise à sa place mais là l’urgence fait loi. Je vais chercher l’objet demandé et à mon retour je la trouve à quatre pattes, sa chatte grande ouverte attendant d’être défoncée. Le gode trouve sa place et je la défonce littéralement. Elle crie, gémit, se tord, serre les cuisses et d’un coup se tend dans un silence impressionnant puis tout aussi brutalement se relâche. Je la prends dans mes bras et enfin les larmes coulent. Je la laisse faire, l’encourage même à pleurer pour se libérer de ce poids puis, comme si cette journée avait été la plus fatigante de toute sa vie elle s’endort contre moi. Et là … Mon dieu que j’aime cette femme, ces femmes emmêlées dans ce corps, appel aux caresses, aux plaisirs de la chair.
Elle :