Lui : La veille je lui avais indiqué qu’elle serait punie et que ce serait une punition package, comprenez une punition pour plusieurs fautes.

Le jour dit et malgré ses (faibles) protestations je fais appel à Cléa, nom de ma soumise. Histoire de tout de suite de la plonger dans l’ambiance je la fais mettre nue et lui passe son collier de chienne. Il faut que vous sachiez que Cléa ne s’aime pas et que se mettre nue est pour elle un défi que je compte bien lui faire relever de plus en plus facilement jusqu’à ce que ce soit pour elle naturel de se promener dans cette tenue devant moi.

Je lui passe à chaque cheville une boucle de corde et la fait mettre à genou. Les mains croisées derrière la tête, la corde est reliée à la chaine qui relie les deux bracelets et la voici à mon entière disposition, dans l’incapacité de bouger. Quelques tapes sur les cuisses et elle les écarte largement me laissant tout le loisir d’aller fouiller son sexe déjà ouvert et plus qu’humide. Mais déjà les premières difficultés s’annoncent. La position lui fait mal aux chevilles. Je l’aide à se replacer dans une position plus confortable et lui demande de tirer la langue. J’y pose une pince à linge et … Elle me dit que c’est trop douloureux. Je déplace donc la pince et la gifle durement en lui disant que « ça c’est pour que la prochaine fois que je te dis que Tu es belle la seule réponse acceptable est un oui ». J’appuie ma requête d’une nouvelle gifle. Je lui mets un bandeau sur les yeux. J’aime l’idée de la rendre folle, qu’elle soit dans l’attente sans savoir ce qu’il va se passer et surtout où. Je pose des pinces à seins sur sa poitrine, elle gémit mais se laisse faire comme la douce soumise qu’elle est. Le petit vibro fait sensation sur son sexe, sur ses seins. Elle gémit, se tord et là …. Patatras … Elle s’écroule et gémis que c’est trop douloureux, que la position est trop inconfortable. Panique à bord. Retirer le bandeau. Lui défaire ses liens. Rester calme. Impossible de défaire le mousqueton … Elle tire trop dessus …. Tenter de la redresser …. Pas possible, elle au bord de la panique et moi je m’efforce de rester calme. Défaire les poignets … Là … Voilà … Je la prends dans mes bras, masse ses chevilles ou l’empreinte de la corde est très (trop) marquée. La masser encore et encore. La calmer. La masser toujours. D’un coup elle se fait molle entre mes bras, toute molle. Une petite perte de connaissance qui me laisse inquiet sur ce que je suis, sur le Maître que je suis. Et puis elle me dit … La position trop dure, les chevilles douloureuses sur le parquet et la pince sur la langue trop difficile pour elle. Je la câline doucement et sans que je lui ai demandé, comme pour se faire pardonner de ne pas avoir su / pu être la soumise que j’attends elle me prends dans sa bouche, bouche fabuleuse, douce, chaude. Je la laisse faire et ne tarde pas à me déverser sur sa langue.

La séance s’arrête là, sur ce semi-échec dû à mon impréparation, à mon désir peut être d’aller trop vite, trop durement … Mais … Ce n’est que partie remise.

Elle : Monsieur m’a prévenu qu’une nouvelle punition m’attendait sauf que je ne savais plus pourquoi…IL a décidé que ce serait un jour de la semaine pendant notre pause déjeuner quand les enfants sont à l’école.

Midi sonne et je décide d’attendre qu’IL vienne me chercher, les minutes s’écoulent et toujours pas de Monsieur, aurait-il oublié ? Vu comment il était impatient avec sa lueur lubrique dans les yeux ce matin, ça m’étonnerait. Midi 15, je l’entends monter les escaliers, mon pouls s’accélère, un frisson de désir mêlé à de l’appréhension m’envahit. Me trouvant dans mon bureau, pièce dite neutre, il me demande d’en sortir pour mettre sa punition en route. A peine franchi le palier de mon bureau, il me dit « Déshabille-toi ! », au vu du ton employé je me dépêche de m’exécuter, c’est alors que je découvre une corde préparée pour m’entraver, je pense, mes poignets, pas le temps d’analyser qu’il me passe alors mon collier adoré et les bracelets à mes poignets, « Mais alors à quoi sert cette corde !?! ». Je dois alors mettre chaque pied dans un nœud coulant de cette fameuse corde qui sont reliés entre eux. Puis il m’ordonne de m’agenouiller, de lever mes bras et de positionner mes poignets derrière ma nuque dans le dos, il m’attache les poignets au collier ainsi que la corde ce qui fait que je suis quasi bloquée dans mes mouvements.

Il s’éclipse pour revenir avec un paquet de pinces à linge en bois, là je me sens beaucoup moins à l’aise contrairement à Monsieur qui se délecte déjà de ce qui m’attend. Il prend une pince à linge et m’ordonne d’ouvrir la bouche et de tirer la langue…comprenant ce qui m’attend j’ai un « Non » qui sort, il me tire méchamment les cheveux et j’obtempère avec vraiment beaucoup de réticence. Il attrape ma langue et y place une pince, la douleur est tout de suite présente et impossible de parler, seuls des sons incompréhensibles sortent de ma bouche.

L’explication de cette punition vient alors : « Je t’ai mis cette pince car je ne veux plus t’entendre dire NON, tu es ma soumise et tu dois m’obéir, tu dois me dire ‘Oui Monsieur’. Quand je dis que tu es belle, tu me réponds ‘Oui monsieur’, as-tu compris ?». Oui je pense que j’ai compris sauf que voilà, la pince me fait vraiment souffrir et en me tortillant j’arrive à l’enlever alors qu’il vient de se retourner pour préparer la suite. Quand il s’aperçoit de ce que j’ai fait, il me remet cette pince et refait mes liens, cette fois je ne peux plus bouger. Il me redemande si j’ai compris et par hochement de tête, il me libère ma langue que je ne sens plus.

Il me met un bandeau sur les yeux et se met à me caresser, me gifler, me taper sur les seins, ça me rend dingue de ne pas savoir sur quelle partie de mon corps il va se manifester…et puis trou noir pendant plusieurs minutes…

Quand je reviens à moi, je n’ai plus de bandeau, je suis détachée agenouillée au bas du lit. Il décide de me fesser avec douceur puis de plus en plus fort, la séance se terminant je décide de lui faire une fellation pour son plus grand bonheur.

punition 2

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