Lui : Elle m’avait indiqué qu’elle voulait être punie car elle ne se supporte pas. Elle ne s’aime pas, Elle n’aime pas son corps. Alors ce matin est venu sa première vraie punition.

Je pense qu’elle a passé 10 des plus longues minutes de sa vie. Il a d’abord fallu que je La fasse venir. Car dans la vie de tous les jours Elle se cache dans les replis de son cerveau. Et puis j’ai préparé le matériel pour SA punition. Mettre un matelas au sol car en plus de son malaise je n’allais pas ajouter l’inconfort, une boite et fixer dessus par sa ventouse un gode.

Je vois dans son regard qu’il va falloir que je la pousse un peu pour qu’elle aille au bout. Je lui mets aux poignets les entraves et lui montre le chronomètre fixé à 10 minutes.
« Déshabille-toi ». Le ton est sec, sans appel. Elle le sent au ton de ma voix et s’exécute lentement.
« Assieds-toi sur le gode ». Elle rechigne, y va doucement mais finit par le glisser en elle. Je relie ses poignets par une chaine qui passe dans son dos pour qu’Elle ne puisse pas se caresser ou prendre appuie sur ses cuisses.
« Vas-y, fais toi du bien mais tu as interdiction de jouir.
- ça va être trop difficile.
- je ne te demande pas si ça va être difficile ! Je te dis ce que tu dois faire ».

Doucement, presque timidement elle commence à aller et venir sur le godemiché. Elle ferme les yeux ou bien pour oublier que je suis là ou bien pour se concentrer sur ce qu’elle vit. Peu importe la raison, Elle est belle ainsi. Nue, offerte à mon regard. Elle rouvre les yeux et j’y lis de la détresse, de la honte.
« Tu es belle, continue.
-Non, je ne suis pas belle. »
La gifle vient avant qu’elle ne s’en soit rendu compte. Elle affiche un regard perdu, un regard qui crie au secours.
« Répète … Je suis belle.
- Non … »
Une nouvelle gifle l’accueille.
« Si, tu es belle, dis-le !
Dans un murmure à peine perceptible « Je suis belle ». « Dis le plus fort ». Elle crie presque « Je suis belle ». Je reste quelques instants proche d’Elle à la cajoler, la câliner pendant qu’elle continue à aller et venir doucement puis je me détache de son corps qui me fait tellement envie pour m’allonger sur le lit et la contempler.
Les minutes restantes de mon coté passe vite. Je la regarde prendre du plaisir, je l’écoute respirer, haleter, se calmer pour ne pas atteindre la jouissance. J’entends son sexe trempé qui avale le gode, le laisse glisser.
Le délai écoulé je m’approche d’Elle, la câline, lui redis qu’Elle est belle et que j’aime La regarder. Je La prends dans mes bras, retire tout ce fatras installé pour son plaisir pour qu’Elle se détende. Je L’aime.

Elle : Cette 2^ème séance planifiée depuis plusieurs jours et dont je savais qu’une punition et un rasage particulier étaient prévus la rendait redoutée et en même temps très attendue.

Il est 10h30, je suis allongée sur le lit et je vois mon maître se précipité sur moi pour appeler sa Cléa en me prenant sauvagement par les hanches, les serrant, les griffant les pinçant. Cléa ne peut résister à cet appel et se présente à son maître. Puis il me demande d’enlever le haut, s’attarde sur le bas à moitié descendu sur mes fesses, je le sens très tenté de s’y attarder sauf qu’il se souvient de la punition à me donner.

Il descend du lit, installe un matelas par terre où il pose une boite en bois avec dessus un gode d’une belle taille fixé par une ventouse. Il me demande de descendre du lit, me met les bracelets à mes poignets et les relie par une chaîne dans mon dos. Il prend un portable pour déclencher une minuterie et me dit : « Assis toi sur ce gode et moi je te regarde te faire du bien pendant 10 minutes». Je m’assois sur ce gode froid qui pénètre doucement dans ma chatte, Je me sens tellement humiliée d’être dans une telle position face à mon maître qui m’encourage puis je me laisse aller ce qui me déclenche des frissons de plaisir, de désir, je fais des mouvements de va et vient doucement puis de plus en plus vite en fixant du regard mon maître. Le plaisir devient de plus en plus intense, Monsieur décide de s’approcher et comme si cela ne suffisait pas, décide de rajouter les pinces sur le bout de mes seins et son doigt sur mon clito arghhhh là je vais jouir je deviens folle, mes seins sont plus qu’excités, mon sexe me brûle, mon clito va exploser et d’un coup il s’arrête et me dit « Tu n’as pas le droit de jouir ». Grrrrr le sadique, moi je n’ai qu’une envie me faire exploser la chatte avec ce gode !!!

Il défait alors le haut de son jean pour en sortir son adorable sexe et m’ordonne de le sucer. L’avoir au fond de ma bouche tout au fond je kiffe grave. J’aurai aimé continuer à lui faire cette pipe jusqu’à ce qu’il se déverse dans ma bouche mais non Monsieur se retire et se rhabille, quelle déception ! Puis il s’éloigne et me regarde en prenant garde que je ne jouisse pas, c’est difficile de tenir, 10 minutes dans cette position c’est loooong. Et là il me sort : « Tu es belle », j’ai la répartie (hélas) un peu trop rapide et lui répond « Non je ne le suis pas », à l’instant où j’ai sorti ces mots je l’ai regretté, il est revenu en moins de temps qu’il ne faut pour le dire et s’est mis juste au-dessus de moi. Il m’a giflé une première fois puis plus durement une seconde et troisième fois, mes larmes ont coulé et j’ai dû dire à haute voix que je me sentais belle. Bizarrement, ces gifles m’ont fait prendre conscience de la valeur que j’ai pour mon maître et je l’en remercie encore.

Allez plus que 2 minutes où je continue mes mouvements sur ce cher gode, je suis sur un petit nuage d’extase à la limite de jouir, je vais craquer et me laisser emporter par une vague de plaisir intense quand mon Dom m’annonce que les 10 minutes sont écoulées. Je me retire de ce gode, il enlève l’une après l’autre les pinces de mes seins ce qui me procure un orgasme et enfin défait la chaîne de mes bracelets. Il me prend dans ses bras et me dit qu’il est très satisfait de moi. Je me sens fatiguée mais tellement heureuse d’avoir réussi cette première punition.

Punition

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