Lui : Vacances jour 1

Tout a commencé le midi avant le déjeuner. Après ma demi-journée de travail j’ai envie d’elle, j’ai envie de l’exciter. Je la bloque contre un mur, l’embrasse, plonge ma main entre ses cuisses pour la découvrir déjà mouillée. D’un geste directif j’emmène sa bouche à ma queue.

J’ai énormément de mal à résister à son corps mais je suis fort (rire) alors je m’arrête là.

Vient le soir. Avant le dîner elle me fait l’agréable surprise de s’être changé. Joli chemisier largement échancré, jupe longue et souple. Je me lève et l’abandonne quelques instants. A mon retour je lui passe son collier de chienne. Elle est belle, désirable et là pas question de résister. Après avoir joué quelques instants avec ses seins et sa chatte je l’emmène derrière le canapé et lui fait poser les mains dessus. Ma main s’abat sur ses fesses, j’essaie de les faire légères, accentuant au fur et à mesure la pressions, le rythme. Elle gémit alors que sa chatte libère son doux liquide. Putain j’adore le bruit de la fessée. J’adore le son du contact de ma main avec son derrière. Et j’aime les cris qu’elle pousse, mélange de douleur et de plaisir. Après un petit câlin pour la calmer je la fais mettre à quatre pattes et la baise violement. Juste quelques coups de reins pour se mettre en appétit avant le dîner et pour la suite. Pour lui mettre l’eau à la bouche je lui dis : « je vais t’attacher au lit, poser des pinces sur ton sexe et après je t’enculerai ». A peine j’ai prononcé ces mots qu’elle pousse un soupir que je comprends comme plein d’envie.

Elle garde son collier pendant le repas. C’est la première fois qu’elle le porte en dehors de nos séances et c’est étrange de la voir ainsi, à la fois chienne et vanille. Je lui caresse les seins, me colle à elle …. Tout pour conserver son envie.

Après le repas, instant café. Tendrement installé sur le canapé je la caresse, cajole ses seins. Puis je pose sa main sur ma braguette. Automatiquement elle se met à me caresser me faisant rapidement bander. Je lui demande ce qu’elle veut et sa réponse est celle que j’attends, la seule réponse que peut me donner la salope qu’elle devient « te sucer ». Je la laisse sortir mon sexe et se régaler. Avant que je ne perde le contrôle je l’envoie dans la chambre où je la laisse seule le temps de réunir mes « outils ».

A mon arrivée elle est assise sur le matelas, tranquille même si je la sens tendue. Après qu’elle a retiré sa jupe Je lui passe des bracelets aux poignets, aux chevilles. Assise contre la tête de lit je lui attache les poignets aux barres. Puis …. Je lui mets un bandeau. Je sais l’effet que lui fait de ne pas voir. Surtout que je me sens d’humeur joueuse. J’attache à ses chevilles la barre d’écartement que j’ai fabriquée. Elle est surprise de ne plus pouvoir serrer les cuisses et de se sentir ainsi offerte à mon regard, elle qui ne s’aime pas.

Je la caresse, allant de ses seins à son sexe, griffant l’intérieur de ses cuisses. J’alterne les contacts avec les riens. Rien de tel que l’attente pour augmenter les sensations. Puis le vibro entre en action. Sur ses mamelons totalement dressés, sur son clitoris qui n’en peut plus de gonfler. Le vibro visite sa chatte détrempée avant d’aller dans sa bouche « tu es une vraie salope, tu suces tout ce qui présente à ta bouche ». Elle acquiesce tout en continuant à sucer le petit vibro. Histoire de lui faire perdre encore un peu plus de liberté je lui mets le bâillon boule. Pour la sécurité je lui glisse des pièces dans une main. Elle n’aura qu’à les faire tomber si jamais ça n’allait pas. Bâillonner, aveugler, attacher la première sensation est celle de la roulette crantée sur sa peau. Ce petit jouet est un vrai régal. A chaque fois qu’il entre en contact avec sa peau elle se tend, cri (vive le bâillon). J’alterne roue et plumeau tout en douceur. Le contraste fait son effet. Le vibro retourne jouer sur son clitoris, dans sa chatte et j’en profite pour poser une puis deux pinces à linges sur son sexe. Les ventouses atterrissent sur ses seins.

Elle gémit, se tord, soupire. Le nombre de pinces à linge augment encore. Comme elle ne semble pas se rendre compte de ce que j’ai fait, de ces 3 pinces qui ont envahi son sexe je lui dis ce que j’ai fait et j’attends qu’elle soit attentive avant de poser la dernière puis je me mets à jouer avec. Et tout s’enchaine, se mélange. Le vibro, le plumeau, la roue crantée …. D’un seul coup je retire les ventouses de ses seins et rapidement j’enchaine avec les pinces. elle crie. Douleur, plaisir, plaisir, douleur. Vibro pour conserver du plaisir, roue cranté pour la faire se tendre.

Sa main s’ouvre et les pièces tombent. Rapidement de la détache. D’abord les poignets, les chevilles et je la prends dans mes bras, la câline, la cajole. A peine elle a repris ses esprits que je la fais mettre à quatre pattes. Un peu de gel, deux doigts pour la préparer et ma queue s’engouffre dans son cul où je jouis en quelques coup de rein.
Alors qu’elle se repose entre mes bras je sens toute la tension sexuelle accumulée qui se projette dans son corps. Elle se tend, soupir, vibre. Je l’encourage à jouir, à accepter cet orgasme que la salope qu’elle est réclame. Elle se laisse aller et cri littéralement son plaisir avant de retomber épuisée contre moi.

Elle : Premier jour. Nous voici en vacances seuls sans enfants dans une maison située au calme. Mon maître travaille encore 2 jours alors que moi je suis en vacances et j'en profite pour me ressourcer.

IL m'avait prévenu que je serai sa soumise quand bon lui semblera et au premier matin alors que je m'apprête à prendre ma douche il m'arrête dans le couloir t commence à me caresser, son regard est devenu noir, fou de désir. IL m'attrape par les hanches fermement durement se colle à moi, je l'entends baisser son pantalon puis il me prend méchamment par les cheveux en me faisant comprendre de descendre vers son entrejambe. Je commence à le sucer aussi profondément que je le peux mais avec le thé que je viens de boire j'ai des hauts le cœur qui m'oblige à m'arrêter. Même si Monsieur est déçu, il ne me punit par pour autant pour ce contretemps et décide de baisser mon pyjama et se met à frotter sa queue contre mon sexe qui est déjà trempé. IL se retire alors se rhabille et me dit d'aller prendre ma douche. C'est moi maintenant qui suis pleine de désirs et qui ne rêve que d'une chose me faire prendre sauvagement comme une chienne !

Le reste de la journée est calme, à la fin de sa journée de travail nous partons nous promener et profiter d'un magnifique coucher de soleil en bord de mer.

Nous rentrons alors dans la maison qui est agréablement chauffée, je décide de me changer et de passer une jupe fluide mi-longue ainsi qu'un chemisier rouge, je ne porte aucun dessous.Je m'installe à côté de lui sur le canapé et très vite ses mains commencent à aller sous mon chemisier, sous ma jupe, il comprend alors que je suis nue et d'un coup il se lève, je l'entends revenir derrière moi et je vois alors passer devant mes yeux mon collier qu'il s'empresse de me mettre. C'est le signe que je suis à partir de cet instant sa soumise et seul mon safeword peut l'arrêter.

IL me demande de me lever, de me pencher sur le dossier du canapé et de me cambrer. IL se met alors à me fesser doucement puis de plus en sèchement, ce qui me fait lâcher plusieurs cris de douleur. IL m'emmène ensuite dans la chambre, me demande de me mettre à 4 pattes et s’introduit en moi sans préambule. Les coups sont durs, violents et j'aime ça. Je crie de plaisir, l'orgasme monte, arrive quand il se retire soudain et m'annonce que c'est terminé pour le moment et aussi la suite du programme : « Après avoir dîné, je t’attacherai, te donnerai du plaisir puis te prendrai par ton derrière méchamment. Pour le moment, allons manger ».

Un programme très « alléchant » en perspective, sauf que j'aurais bien aimé jouir et qu'il se déverse en moi mais non il faut encore que j'attende, c'est dur mon sexe ne demande qu’a être pris, mon bas-ventre est bouillonnant c'est une torture de s'arrêter pour reprendre plus tard...

Pas le choix, c'est LUI qui décide alors je me relève et nous allons manger.

Après ce repas et un bon café, mon maître repart à la conquête de mon sexe qui est plus que prêt à le recevoir !

Après quelques caresses et doigtés, nous retournons dans la chambre, il m’ordonne d'enlever ma jupe et d'ouvrir mon chemisier, il part dans une autre chambre où je l'entends farfouiller et il revient avec 4 bracelets et un bandeau. IL me passe d’abord les bracelets aux poignets puis ceux aux chevilles. IL m'attache mes poignets aux barreaux du lit les bras en croix puis vient ensuite le bandeau. Je l'entends repartir et revenir avec plusieurs objets, il me demande d'écarter les jambes et je sens qu'il attache mes chevilles de part et d'autre. J'essaie de bouger et de les replier et je comprends alors que je pourrai pas car bloquée par un bout de bois que je l'avais vu charger dans le coffre de la voiture. Puis il me demande d'ouvrir la bouche et là je comprends que je vais avoir droit au bâillon, je panique un peu et suis surprise qu'il me le mette car nous sommes isolés et pour une fois que je peux m'abandonner et m'exprimer comme je le souhaite... je suis un peu déçue et très frustrée je l'avoue.

Mon maître, je vous le demande pourquoi m'avoir bâillonnée lors de cette séance ?

Puis il me verse des pièces dans ma main droite et m'explique que si j'ai un problème je dois les faire tomber.

Je suis entièrement à sa merci, je l'entends soupirer d'aise et de ravissement. Puis il se lève et me dit « Je reviens dans quelques minutes... » , je perds la notion du temps et chaque seconde me semble interminable, je me sens seule, abandonnée. Alors que je me languis de son retour, je sens qu'il me souffle au visage cela me fait sursauter enfin IL est revenu et avec lui d'autres objets de ce que j'entends. D'abord un bruit régulier qui correspond à l'œuf vibrant qu'IL me passe sur mon sexe, la vibration est constante et me fait perdre la tête, je me tortille sur cet objet, je le fais entrer en moi par des mouvements que Monsieur traduit très bien en même temps il me masturbe mon clito. L'orgasme monte et alors que je vais (enfin) jouir Monsieur arrête cet objet de folie, je vais devenir folle et avec ce baillon je ne peux exprimer mon désappointement. J'entends alors un bruit de succion puis cette ventouse qui attrape mon bout de sein c'est tellement bon, il fait de même pour le second sein même si la surprise n'est plus là cela n'en reste pas moins très agréable. Je sens alors des pics passer sur ma chair, mes seins, mon ventre, l'intérieur de mes cuisses, mon sexe, c'est pour certains endroits comme l’intérieur de mes cuisses désagréables et pour d'autres comme mes seins très agréables, orgasmiques, j'en redemanderai encore et encore... Je le sens prendre mes grandes lèvres et faire je ne sais pas, je pensais qu'il était en train de mettre des pinces mais non. Là, il s'arrête plus rien ne se passe, je me sens mal à l'aise, je sais qu'il me regarde, j'aimerais tellement le voir pour savoir s'il est satisfait de ce qu'il contemple. IL reprend alors sa petite roue à pics et me la passe et repasse partout sur mon corps, je monte en jouissance, je me sens partir. Il se met à me claquer mes seins et mes bouts de seins , je suis à la limite de m'abandonner, il s'arrête et reprend le mini-vibro il joue avec mon sexe bizarrement ça me fait revenir un peu. Puis il me dit que j'ai actuellement 3 pinces à linge sur mes grandes lèvres, je ne le crois pas et quand il se met à les bouger je les sens c'est comme si elles faisaient parties de moi, il en met une 4ème pour rééquilibrer dit-il. Celle-là je la sens, la douleur reste très supportable. Il continue à profiter de moi, de mon sexe, de mon corps et alterne mini-vibro, roue piquante, il jour avec les pinces à linge dont la morsure commence à se faire sentir. Puis il décide d'enlever mes ventouses qui me procurent une douleur jouissive et ensuite les pinces à linge m'entraînant vers le subspace, je suis en train d'en franchir le palier mais la position de plus en plus douloureuse de mes bras appuyés sur les arêtes en fer du lit ainsi que mon cou également en appui sur une des barres s'impose en moi, je n'en peux plus et je lâche les pièces. IL s'empresse de me libérer les bras, cela fait du bien. Il me détache complètement et m'enlève mon bandeau.

Je me sens dans un nuage de plaisir toute proche du passage à l'autre monde, Monsieur s'en rend compte et me rappelle que le programme n'est pas tout à fait terminé. IL souhaite savoir s'il faut attendre un peu, je marmonne un Non et je me retrouve à 4 pattes, IL prépare rapidement mon derrière avec de la vaseline et très (trop?) rapidement s'enfonce en moi. Je n'ai pas le temps d'apprécier ce moment qu'il jouit en moi et s'écroule avec le sourire aux lèvres... Je m'endors à ses côtés, lessivée, pourtant je ne suis pas partie dans le subspace ni jouis, le contenu de cette séance a eu le même effet de plaisir.

Plus tard dans la nuit, il me dira que j'ai été fabuleuse, quel beau remerciement. Merci Monsieur pour cette phrase qui m'a fait un bien fou et donné un peu plus confiance en ma personne.

jour 1

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